Villa Quolibet

Patrice Delbourg

Auguste Bléchard, qui se définit lui-même comme un « moine copiste » adonné à de paisibles travaux calligraphiques, reçoit en héritage un de ces sinistres pavillons de pierres meulières semés depuis le début du XXe siècle dans les grandes banlieues parisiennes. Le problème est que la villa - Les Glycines - est inhabitable. Comme ce pauvre Bléchard ne sait pas planter un clou, il doit faire appel à quelques soi-disant génies de la rénovation qui vont bientôt se révéler de vrais « branquignols », incompétents jusqu'à l'absurde. Entre l'énorme Tarass Boulba, le terrassier, Ivre Martin, le maçon trop porté sur la bouteille, Belle Enflure, le plombier au béret vert de para, Petit Einstein, l'électricien kabbaliste, Zapimax, le couvreur aléatoire, Aldo, le charpentier aux instincts de commandement, et le peintre à la main contrefaite, c'est à qui fera, pour le plus grand bonheur du voisinage, le plus de bêtises et commettra le plus de dévastations propres à faire gonfler les factures... « Jusqu'au jour où la silhouette de Lilith se profile entre les gravats... » L'arrivée de cette jeune femme va transformer en un tournemain ce lieu de corruption et de désordre en un paradis de l'efficacité. Il était temps... Romancier (Les Chagrins de l'Arsenal, Le Cow-Boy du Bazar de l'Hôtel de Ville), poète et homme de radio (Des papous dans la tête sur France Culture), Patrice Delbourg injecte de l'humour noir à chaque étage de sa bâtisse. Lire la suite

336 pages | Couverture brochée en couleurs | Format: 140x220

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Citation presse

1er chapitre de Villa Quolibet

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