Chapeau

Un rythme d'enfer, une intrigue glaçante, une atmosphère oppressante... Le marchand de sable, version Lars Kepler, va passer. Bonne nuit, les petits...

Le comit� a aim�

Avec Lars Kepler, les choses ne sont jamais aussi simples qu'elles en ont l'air... La psychologie des criminels évoque des puits sans fond, le temps se distord, l'intrigue prend des chemins sinueux, entre chausse-trapes, passages secrets et tiroirs à double fond. Cette duplicité permanente commence par l'identité même de l'auteur, qui dissimule deux écrivains unis par les liens du mariage et du suspense, Alexandra et Alexander Ahndoril ! Joona Linna, leur limier hors du commun, est amené à conduire deux enquêtes en parallèle : la première sur l'évasion d'un garçon que tout le monde croyait mort, la seconde sur son enlèvement survenu treize ans auparavant. Le sort de ce malheureux jeune homme est étroitement lié à celui de sa soeur, qui est peut-être toujours détenue dans les profondeurs de la terre. Quant au tueur en série Jurek Walter, il a en quelque sorte transmis son héritage de souffrance et de sang à un mystérieux complice. Et le plus beau dans cette énigme rendue opaque par un jeu de miroirs d'une infinie perversité, c'est que sa clef réside dans les méandres du cerveau d'un psychopathe enfermé au fond d'un asile... En lisant L'Homme sable, vous ne pourrez pas ne pas songer au Silence des agneaux !